Accident vasculaire cérébral
AVC, trois lettres qui font peur… Depuis quelques années, on nous met en garde contre ce fameux « accident vasculaire cérébral » et à juste titre car grâce à quelques symptômes détectés à temps, une vie peut être sauvée.
Mais qu’est-ce donc au juste un accident vasculaire cérébral ? Celui-ci se rencontre lorsque le flux sanguin arrivant dans l’un ou l’autre endroit du cerveau est interrompu. Il peut être dû soit à un obstacle, un caillot de sang, soit suite à la rupture d’un vaisseau sanguin.
Il s’en suit une privation de l’apport d’oxygène et des nutriments nécessaires au bon fonctionnement des cellules nerveuses cérébrales. Celles-ci vont mourir et provoquer une perte de certaines fonctions du cerveau.
Dans la plupart des cas, il n’y a malheureusement aucun signe précurseur de l’AVC, mais un certain nombre de facteurs de risques peuvent attirer l’attention.
Un AVC peut survenir à n’importe quel moment de la vie, même chez les enfants.
Hommes et femmes ne sont pas égaux face à l’accident vasculaire cérébral. En effet, les femmes sont plus à risque d’être touchées par un AVC au cours de leur vie.
Les séquelles et la gravité de l’AVC varient d’une personne à l’autre, suivant le type d’attaque et la zone du cerveau touchée.
Aussi, il existe trois types d’AVC
- - AVC ischémique : un vaisseau sanguin est obstrué par un caillot de sang.
- - AVC hémorragique : il est causé par la fragilisation d’une artère cérébrale qui se rompt.
- - AIT ou accident ischémique transitoire : Il est parfois appelé « mini-AVC » étant donné qu’il survient lorsqu’un vaisseau du cerveau est bouché par un caillot pendant quelques minutes (généralement moins d’une heure). L’AIT est souvent un prémisse d’AVC. Il est donc une urgence médicale tout comme ce dernier.
Mais pour mieux en parler, voici une vidéo expliquant bien la problématique. Je vous laisse juger par vous même…
Bonne vision !
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